Entretien avec Malick Traoré.

  • effluve de mode

Acteur, model, mannequin, formateur, homme d'affaire compulsif, Malick Traoré est un véritable touche à tout. Sa dernière touche, le bilamba festival. Un événement de mode qui réuni chaque année la fleur fine de la sapologie  de haut niveau venue d'ici et d'ailleur.

Beau, élégant et chic, nous tendons le micro à cet acteur clé de la mode ivoirienne pour savoir son avis sur le secteur.

EM ( effluve de mode)

Qui est Malick Traoré ?

Malick

Un jeune infographiste aussi  mannequin, top model, acteur et influenceur.

EM:

Comment arrivez vous à gérer autant de tâches?

Malick

Bon comme vous le savez, c'est pas facile, et ça demande assez de temps mais on tamponne des deux côtés pour être toujours dans le bain. L'infographie est en plein essor la mode aussi demande du temps et de la disponibilité mais dans tout il faut savoir gérer son temps. C'est ce que je fais.

EM: comment avez vous connu avy Isaac ?

MalickJ

J'ai connu avy Isaac par le biais de Joël Gabo PDG de la marque Bilamba après un de mes défilés au festival bilamba de la précédente édition. C'est en défilant qu'il est tombé amoureux de mon talent. C'est une personnalité publique que je respecte beaucoup. Je lui doit tous.

EM: votre impression sur la dernière édition des bilamba.

Malick

Le festival par la grâce de Dieu s'est bien passé et je crois qu'on s'est aussi amélioré dans l'organisation, quand je vois le beau monde qu'on a eu franchement je suis satisfait. Je remercie les mannequins et autres personnes qui nous ont soutenu moralement et financièrement.

EM: avez vous réussi à vous faire des relations ?

Malick

Malick

Évidemment, dans la vie il faut savoir saisir et utiliser les opportunités. Comme vous l'avez remarqué il y a eu de très beau monde alors je me suis aussi fait des relations.

EM: en tant que mannequin, que pensez vous de votre situation? Sur l'aspect financier.

Malick

Bon les mannequins ivoirien travaillent  bien mais comme vous le voyez le rapport travail/ rémunération n'est pas égal. Il faut que les stylistes et créateurs essayent de revoir leur cachet.

Ugo man kadjar

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